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Ce récit est la suite de : La clef USB (10)
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI
Il est venu aux nouvelles le lendemain. À la première heure.
- Alors ? Ta copine ? Tu l’as eue ?
Elle l’avait eue, oui.
- Sur le principe elle est partante. Enthousiaste même. Suffit juste qu’elle arrive à se dégager un créneau. Mais, à mon avis, vu comment elle est motivée, ça devrait pas trop tarder.
- Génial !
Il s’est laissé tomber sur le canapé, devant la télé.
- Bon, mais si, en attendant, tu me faisais découvrir une autre de tes charmantes petites vidéos ? La dix, tiens, par exemple.
- Oui, oh, ben alors, celle-là !
- Celle-là ?
- Elle tombe vraiment à pic.
- Oui, bon, ben dis rien ! Dis rien ! Que j’aie la surprise.
Elle a lancé. Est venue s’asseoir à côté de lui.
- Oh, mais c’est que le gode de Madame est de sortie. Et tout équipé en plus. Avec les boules attenantes pour faire plus vrai. Plus réaliste.
Il a fini par s’impatienter.
- Oui, bon, ben ça va ! Ça y est ! On l’a vu. En long, en large et en travers, ce truc. Il serait peut-être temps qu’il se mette au travail maintenant, non ? Ah, ben voilà ! Voilà ! D’abord un rapide petit bonjour, au passage, au gentil petit clito. Rapide… Rapide… C’est vite dit. Parce que t’aurais plutôt tendance à t’attarder, là, on dirait. Eh, mais c’est qu’il se hausse du col, le coquin ! Non, mais regardez-moi ça ! Ça te fait de l’effet, dis donc ! Non, mais comment tu te tortilles ! En bonne petite dépravée que tu es.
Ses mots ! Ce qu’elle les aimait, ses mots ! De la folie.
- Oh, oui ! Ouvre-toi bien ! Bien au large. T’es ravissante comme ça ! Absolument ravissante.
Il bandait. Il bande. Et c’est pour toi, Christina ! Pour toi !
- Oh, ce soupir de bonheur quand tu te l’es entré ! C’est bon, hein ? Comment il t’emplit bien. Comment il t’emplit toute. Et ça y va ! Non, mais comment tu y vas !
Ça y allait, oui ! Et, sur l’écran, son plaisir l’a emportée. Il a protesté.
- Oh, ben non ! Non ! Pas déjà ! C’est trop tôt. Comment c’est frustrant ! On peut pas vraiment en profiter. On n’a pas le temps. Bon, mais ça fait rien. On la remettra. C’est ça qu’il y a de bien avec les vidéos, c’est qu’on les a constamment à disposition. C’est quand on veut. Quand on a envie. Cela étant, je vois pas ce que tu lui trouves de si particulier, à celle-là. À part que, pour une fois, t’as laissé un peu de toison tout en haut. Ce qui te va très bien d’ailleurs. Mais sinon…
- C’est son truc, à Damien, de me regarder me donner du plaisir.
- Oui, ça, j’avais cru deviner.
- Surtout quand c’est avec un gode.
- Faut reconnaître que c’est un spectacle très agréable.
- Sauf qu’il s’est jamais douté que ce gode-là, il est un peu spécial. Valait mieux d’ailleurs.
- Comment ça, spécial ?
- C’est un moulage.
- Un moulage ? D’une vraie queue ?
- Ah, ben ça, oui. Évidemment !
- Qui est à qui ?
- À Philibert. Un type avec qui je suis sortie, dans le temps. Il y a longtemps. Et dont j’étais follement amoureuse.
- En sorte que tu peux continuer à profiter de lui chaque fois que ça te chante.
- On peut dire ça comme ça, oui.
- Et il se l’est laissé sagement mouler ?
- Oh, ben oui, tu parles ! Un type, en général, quand on lui montre qu’on s’intéresse de très près à ses attributs, il se rengorge. Il se sent plus d’aise. Non, ce qui a plutôt posé problème, c’est de le faire rester au garde-à-vous. Il arrêtait pas de débander, vu que Mélissa arrêtait pas de déconner.
- Ah, parce qu’elle était là, elle !
- Oh, ben oui ! Forcément. C’est elle qu’avait le matériel. Et l’expérience. Elle s’était fait la main au préalable sur son copain.
- Ouais ! Et j’imagine qu’ensuite il y a eu échange de bons procédés. Qu’elle t’a prêté le moulage qu’elle avait fait de la queue de son copain. Et que tu lui as prêté celle qu’elle avait faite de la queue du tien. Entre copines…
- Ça s’est pas vraiment passé comme ça, non. Parce que ça se duplique, un moulage. Autant de fois qu’on veut.
- En sorte que lui aussi, son copain, tu l’as à disposition. En permanence. Et depuis des années.
- Voilà, oui.
- Il était au courant ?
- Évidemment. Et c’était pas pour lui déplaire. Loin de là.
- Non, mais vous êtes redoutables, toutes les deux. Absolument redoutables.
2-
Il est revenu en tout début d’après-midi.
- Tu vois, je peux plus me passer de toi.
- On dirait, oui.
- Et tu sais ce que je me demande, depuis tout à l’heure, c’est si tu n’as que ces deux, là, de moulages, ou si t’en as d’autres.
- À ton avis ?
- T’en as d’autres. Parce que je suppose que ce genre de choses, une fois qu’on y a goûté…
- Faut reconnaître que c’est envoûtant. Tu commences à te raconter une histoire. Tu l’entraînes dedans, le type. Vous vous tournez autour. Tu le séduis. Il te séduit. Et, quand ça le fait enfin, c’est pas à n’importe quel gode basique que t’as recours, non. T’as vraiment sa queue. Sa queue à lui. Et alors là !
- J’imagine, oui, que ça doit être en effet tout particulièrement stimulant. Et excitant. Cela étant, tu n’as pas répondu vraiment à ma question.
- Deux autres, j’en ai.
- Ah, ben voilà ! Qui sont à qui ? On peut savoir ?
- À des types.
- Oui, ben ça, je me doute ! Des types avec qui t’es sortie ?
- L’un des deux, oui. Mais c’était il y a longtemps. Et ça a pas duré.
- Et l’autre ?
- L’autre, c’en est une que Melissa avait faite. Et qu’est tellement harmonieuse…
- Que t’en es tombée amoureuse.
- Quand même pas, non. Mais j’ai eu envie de l’avoir.
- Et de t’en servir. Elle en a beaucoup comme ça, elle, Melissa ?
- Je sais pas. J’ai pas compté. Mais il y en a, oui ! Un sacré paquet. Une vingtaine. Au moins. C’est son truc, ça, à elle, de les amener à se la laisser mouler, les types. D’une façon ou d’une autre. Et elle y met quelquefois du temps, mais pratiquement à chaque fois, au bout du compte, elle arrive à ses fins.
- Et elle couche avec tous ?
- Quand même pas, non ! Mais elle sait être très persuasive. Du coup, elle en a tout un arsenal. Même que t’hallucines complètement quand tu vois ça. De tout il y a. De toutes les formes. De toutes les tailles. Il y en a même une, t’as du mal à croire que ça existe tellement elle est riquiqui. Le type, il bande à fond, mais il y a rien. Quasiment rien. Il y en a d’autres, par contre, c’est de ces morceaux ! Que moi, j’aimerais pas les avoir dedans. Trop, c’est trop. T’en profites pas vraiment. Et si c’est pour appréhender que ça te fasse mal ou que ça te déchire, merci bien.
- En attendant, vous devez en passer un temps devant sa collection, toutes les deux, non ?
- Oh, pour ça, oui ! Des heures des fois. À complètement délirer. Surtout qu’en ce moment, elle s’est mis un truc dans la tête, Melissa, c’est de leur faire avoir du plaisir avec leur propre queue, aux mecs.
- Tu veux dire…
- Anal, oui. Qu’ils jouissent en s’ayant eux-mêmes dans le cul.
- Et ils se prêtent au jeu ?
- Il y en a, oui, mais pas tant que ça. Pas autant qu’elle voudrait en tout cas. Faut dire que les types, la plupart, quoi qu’ils en disent, ils ont encore plein de préjugés de ce côté-là.
- Certaines femmes aussi.
- Aussi, oui.
- Pas toi ?
- J’en suis plus là.
- On va voir.
On va voir ? Elle s’est troublée. Qu’est-ce qu’il entendait par là ? On va voir. Ça a été tout un remue-ménage à l’intérieur. On va voir. Est-ce que ?
- Christina ? Tu m’écoutes ?
- Oui.
- Ils sont où tes moulages ?
- Là-haut.
Le doigt dressé vers le plafond.
- Eh bien, va les chercher !
Et elle l’a fait. Elle les a disposés tous les quatre devant lui sur la petite table. Il les a examinés, un à un.
- Celui-là, c’est celui dont tu te sers sur la vidéo. Celui de ton petit copain Philibert. C’est ça, hein ?
Elle a fait signe que oui. Oui. Il l’a mis à part.
- On va lui faire reprendre du service.
- Et celui-là, c’est celui que tu trouves terriblement harmonieux. Avec juste raison. Il l’est. Et il a le mérite, en outre, d’être d’une taille raisonnable, tout à fait appropriée à une visite de courtoisie dans ton petit trou de derrière. Tu y as déjà pensé, avoue !
- Un peu.
- Un peu ? Beaucoup, oui, tu veux dire. Et tu ne t’es pas contentée d’y penser, alors là, je suis bien tranquille.
Elle n’a pas répondu. Il a hoché la tête.
- Celui-là devant. Et celui-là derrière. En même temps. Quel délicieux spectacle ce doit être. Faudra que tu nous montres ça. Et qu’on le filme. Mais pas tout de suite. Qu’on ait tout le temps de bien y penser avant. L’un comme l’autre.
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